Je peux partager l’objectif de rapprocher sur le long terme la fiscalité sur les deux carburants. En terme d’environnement, les particules fines notamment, ont un impact direct sur la santé qui doit être pris en compte.
Mais l’industrie française de l’automobile est aujourd’hui très dépendante du marché des voitures individuelles diesel, très spécifique à notre pays. Une telle mesure ne peut être envisagée sans un accompagnement financier et structurel de nos constructeurs nationaux.

J’interviendrai ce soir au Sénat dans le cadre du débat consacré au système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre.

Je participe ce matin, au Sénat, à la table Ronde sur la fiscalité écologique, où s’engage un débat avec la Fondation Nicolas Hulot, l’entreprise Lafarge et des universitaires notamment.

Je vous invite à découvrir mon intervention sur France Bleu Alsace en cliquant sur le lien.